Cette section évoque les événements exceptionnels survenus en 2014, qui ont conduit M. de La Garde à assumer la succession du Prince Philippe.
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Quatre jours après la mort du Prince Philippe, les membres du Conseil se réunissent et procèdent à une élection à la va-vite, entachée de nombreuses irrégularités, assez gravement pour que d’emblée soit remise en cause sa validité. D’autres éléments d’appréciation sont entrés en ligne de compte alors et plus tard, et l’objet de ce texte n’est pas de les aborder.
M. de La Garde, par ailleurs sollicité pour différents motifs par M. Parasiliti di Para, et avec lequel il entretenait d’excellentes relations tout en ne le reconnaissant pas comme successeur légitime, condition connue et entendue par ce dernier, a proposé au nouvel élu une collaboration rapprochée, destinée principalement à redresser l’image du Royaume, jugée déplorable par M. Parasiliti di Para.
Cette collaboration est compromise en raison de l’arrivée de perturbateurs dans l’entourage du nouvel élu, ainsi que par l’attitude résolument hostile de certains personnages du Conseil. Les orientations de l’élu, de leur côté, n’ont pas correspondu à l’élan de rénovation qu’il avait annoncé. D’autres facteurs ont empêché la mise en place par M. de La Garde du plan de développement qu’il avait organisé.
Malgré plusieurs tentatives réciproques entre M. de La Garde et M. Parasiliti di Para afin de trouver une entente, il s’avère au mois de novembre 2014 que cette entente demeure impossible. Les circonstances de ces désaccords seront explicitées publiquement en leur temps.
M. de La Garde décide alors de constituer une succession légitime, conforme à l’esprit du Royaume et à la volonté du Prince Philippe, et de l’incarner par nécessité, possédant toutes les formes de la légitimité. C’est en janvier 2015 qu’il a annoncé au public et à plusieurs organes de presse sa décision.
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